Dans le cadre d’un cours de Français langue seconde (FLS) au cégep, vous enseignez un cours préparatoire à l’EUF et constatez que le niveau de vos étudiants est très inégal, que plusieurs d’entre eux manquent sérieusement d’intérêt à l’égard de l’apprentissage de la langue et que les troubles d’apprentissage et la dyslexie augmentent considérablement dans vos classes depuis quelques années. Mais par-dessus tout, vous vous inquiétez des multiples échecs de vos étudiants à l’EUF et êtes à la recherche de moyens fructueux pour renouveler vos approches pédagogiques et d’évaluation afin de mieux préparer vos étudiants à cette épreuve clé de leur parcours collégial. Certains de vos étudiants qui ont déjà reçu un diagnostic de trouble d’apprentissage ou de dyslexie ont le droit de réaliser leurs dissertations sur un ordinateur du laboratoire informatique du collège, mais vous êtes conscient en même temps que d’autres n’ont pas nécessairement de « trouble », mais présentent néanmoins des difficultés d’apprentissage, ce qui vous donne l’impression de leur accorder un traitement inéquitable.
À la lumière des lignes directrices de la CUA, que pourriez-vous faire dans ces circonstances pour rendre plus accessible votre cours (approches pédagogiques, préparation des cours, encadrement, etc.) et ainsi mieux soutenir l’apprentissage de tous vos étudiants? Décrivez 5 moyens que vous pourriez utiliser pour ce faire.
Pistes de solution (Représentation, Action et expression)
- Offrir une « clinique » de préparation à l’EUF à l’extérieur des heures de cours et de concert avec les autres enseignants de FLS;
- Offrir l’accès à un ordinateur pour tous les étudiants (Antidote, etc.);
- Temps de lecture en classe pour le plaisir;
- Utilisation de cartes conceptuelles;
- Livres audio; capsules en ligne, etc.